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Les Français continuent à croire qu'ils ne sont pas "doués pour les langues". Et pourtant, le Cadre européen de références pour les langues doit servir de base pour évaluer le niveau de chaque élève qui sort du système scolaire avec ou sans le bac.
L'anglais est certes une des langues les plus parlées au monde. La puissance des Etats-Unis, l'ancien rayonnement de l'Empire Britannique, celui sur lequel le soleil ne se couchait jamais, ont largement contribué à l'essor de cette langue. Mais, pour parler "franglais", on dira que l'anglais, cela va de soi, c'est un "must". Mais parler une troisième langue, c'est choisir une plus grande ouverture, encore plus de possibilités, de nouvelles découvertes. Bien sûr, de nos jours, deux langues étrangères sont obligatoires pour passer le bac. L'école permet d'apprendre les rudiments d'une langue mais on peut parfaire ses connaissances linguistiques par soi-même et cela peut être très "fun".
Stanley Milgram a examiné les différentes conditions de l'obéissance. On a dit aux sujets d'expérience qu'il s'agissait d'une expérience pendant laquelle on devait étudier les effets de la punition sur la conduite éducative. En dehors du sujet d'expérience, un autre soi-disant sujet d'expérience était également présent (un assistant du chef d'expérience) et le chef d'expérience lui-même (un soi-disant professeur de biologie). Le rôle de l'élève ou du professeur était prétendument attribué au hasard. Le véritable sujet d'expérience était cependant toujours l'enseignant.
Dans une pièce séparée, le soi-disant “élève”, muni d'électrodes aux poignets, était attaché sur une chaise. L“enseignant” avait une console devant lui avec au total trente boutons sur lesquels étaient marquées des tensions de 15 à 450 volts. De plus, des périphrases étaient fixées, par exemple, le secteur jusqu'à 60 volts était signalé comme “choc léger”, le secteur entre 120 et 180 volts comme “choc fort” et le secteur au-dessus de 420 volts était seulement marqué par “XXX”. L'élève devait maintenant faire de simples associations de mots. L'enseignant devait envoyer une décharge électrique lors de chaque mauvaise réponse. Le chef de l'expérience expliquait que les décharges électriques pouvaient être extrêmement douloureuses, cependant, elles ne causeraient aucun dommage durable. L'intensité des chocs devait être augmentée graduellement, c'est-à-dire en cas d'erreurs répétées, celles-ci devaient, à chaque fois, être punies par un degré plus élevé sur l'échelle de voltage. Au début, “l'élève” recevait un léger choc de 45 volts comme essai.
Le querelleur : Il est agressif, méfiant et devient souvent subjectif. Essayez de rester concret et ne perdez pas votre sang froid. S'il y a lieu, faites part des attaques au groupe, c'est-à-dire faites discuter le groupe à ce sujet.
Le positif : Il est motivé, voit tout de manière positive et il est le plus souvent joyeux. Utilisez son énergie positive pour le groupe, mais résistez au danger de vous concentrer uniquement sur lui.
Le "je-sais-tout" : Il est inquiet, mais également engagé, il dit, le plus souvent, ouvertement son opinion. Soyez bien préparé et ayez le courage de le contredire également. Continuez à veiller à ce qu'il ne soit pas le seul à prendre la parole.
Le loquace : Il aime parler, mais pas seulement sur le sujet, il est souvent responsable de rires unanimes. Ne le laissez pas prendre le dessus, essayez de lui confier une tâche sur laquelle il doit se concentrer.
Le timide : Il ne dit pratiquement rien par lui-même, on doit l'inviter à parler. Essayez de vous adresser à lui directement ou de l'amener à parler au moyen de questions sur lesquelles tous doivent s'exprimer (interrogation de cartes, brainstorming, etc.).
Le réprobateur : Il est désintéressé et toujours d'humeur négative, il émet des réserves contre tout. Il ne devrait pas être ignoré, sinon cela s'aggrave, il devrait au contraire être mis en question et être occupé.
L'indifférent : Il arrive en retard, part plus tôt, fait autre chose, regarde sa montre. Vous devriez essayer du mieux possible de l'intégrer, de lui donner des tâches claires ou lui demander quels sont ses besoins. Il peut également devenir un allié.
Le grand animal : Il doit confirmer son ego, montrer qu'il est important, il peut également souvent répandre de la peur quand il se trouve effectivement dans une position plus élevée. Intégrez-le par rapport à son “importance”, cependant, montrez-lui également des limites et ne lui donnez pas trop de marge de manœuvre.
L'interrogateur : Il pose souvent des questions ciblées, il peut ainsi engager des discussions, mais il peut aussi être un fauteur de troubles et diviser le groupe. Soyez bien préparé et ne vous laissez pas vous déconcerter et ne vous laissez pas vous démonter non plus par lui. Si nécessaire, pour vous permettre de continuer, attirez son attention sur le fait qu'il peut également poser d'autres questions pendant la pause ou après la fin.
Selon Ondrascheck